Démarre ton roman en fanfare
Pour séduire les éditeurs dès le premier chapitre !
La grande majorité des manuscrits ne sont pas lus en entier par les éditeurs. C’est une réalité.
Je sais, ça peut paraître injuste, mais les maisons d’édition reçoivent tellement de manuscrits qu’elles n’ont pas le temps de tous les lire en entier. Alors, elles font le tri.
Cette sélection se déroule en deux phases :
➔ D’abord, à partir des documents demandés (résumé, synopsis…) la maison d’édition vérifie que le manuscrit est bien dans sa ligne éditoriale.
Tu vas être suprise, mais 60% des textes envoyés sont refusés à ce stade. Pour passer cette première étape, il te suffit en réalité de faire attention aux conditions d’envoi de la maison d’édition qui t’intéresse. Et si tu es là, c’est que tu as envie de faire les choses correctement, donc je ne m’inquiète pas trop pour cette étape.
➔ Ensuite, les éditrices ou le comité de lecture lisent les manuscrits retenus… mais pas jusqu’au bout. Arrivées à 10% du texte, elles prennent une première décision : continuer leur lecture, ou le refuser ?
C’est là qu’environ 30% des manuscrits sont refusés. Oui, sans même lire le reste du texte.
Alors tu te dis sûrement qu’elles passent à côté de super romans, et que c’est dommage de juger tout un livre par rapport à ses premiers chapitres.
Mon expérience (et celle de beaucoup d’autres éditrices) a montré que les premiers chapitres sont en fait souvent une bonne indication de la qualité globale du roman. Le style, les enjeux, le personnage principal… beaucoup d’éléments essentiels sont en réalité là depuis le début.
Alors oui, il y a des exceptions, mais c’est le compromis le plus fiable qui a été trouvé dans le monde de l’édition pour réussir à lire un maximum de manuscrits sans occuper les éditrices toute la journée.
Ça, c’est ce qui se passe *vraiment* dans les maisons d’édition.
Et ce que j’ai envie de t’éviter justement, c’est d’être l’exception qu’on va refuser parce que le début de ton roman n’est pas assez convaincant.
Surtout que tu n’auras pas de deuxième chance : une fois qu’une maison d’édition a dit “non” à ton texte, c’est pour de bon.
D’ailleurs, confession d’éditrice : les très bons débuts me donnent un a priori positif sur le roman, et forcément je vois moins les faiblesses dans le reste du manuscrit.
Alors qu’à l’inverse, si les premiers chapitres sont un peu moyens, je ne vais pas être enthousiaste, et je vais moins pardonner les incohérences ou un personnage mal exploité.
Quand on dit que c’est la première impression qui compte, ça vaut aussi pour les romans.
Le problème de ton roman, c’est qu’il est peut-être victime du paradoxe du début.
Le début d’un roman, c’est le moment où nous autrice on découvre notre histoire : on est pas encore hyper à l’aise avec notre style, on ne connaît bien notre personnage. Bref : on tâtonne. Et même quand on réécrit, on met le même effort sur tout le roman, donc forcément le début reste un peu plus maladroit, un peu moins convaincant que le reste.
En même temps, c’est justement sur ces premiers chapitre qu’on va être jugées. Et pas seulement par les éditrices : la première impression est capitale pour les lectrices, surtout avec des systèmes comme Kindle Unlimited où elles peuvent abandonner leur lecture à tout moment (je ne parle même pas de celles qui feuillettent les premières pages avant d’acheter).
Pour résoudre ce paradoxe, il n’y a pas trente-six solutions :
Tu dois spécifiquement retravailler le début de ton roman.
C’est ce qui va te permettre de passer la barrière des 10%, et d’être lue en entier (parce que généralement après ça les éditrices et les lectrices vont jusqu’au bout).
Perfectionner ton début, c’est donner un coup d’accélérateur à ton roman sur la ligne de départ – en plus de potentiellement passer d’un “non” à un “oui” en maison d’édition
La majorité des auteurs ne font pas spécialement attention à leur début.
Il est souvent trop lent, trop vague, pas assez accrocheur.
Apprendre à écrire un début percutant, c’est la garantie d’avoir une longueur d’avance sur les autres manuscrits.
Et dans le monde de l’édition où les places sont chères, cela peut faire toute la différence.
La bonne nouvelle, c’est que tu n’as pas besoin de tout réécrire pour ça.
Un bon début, un début qui intéresse et donne envie de lire la suite, ça tient en quelques éléments précis – mais simples !
Et c’est exactement ce que je vais t’enseigner dans cet atelier.
Au programme, je te propose donc de découvrir :
- Ce que signifie *vraiment* le début de ton roman
- Pourquoi le début compte bien plus que le reste
- Les 3 éléments à maîtriser dans ton début
- Le secret d'un personnage attachant dès les premières pages
- Les deux questions auxquelles tu dois absolument répondre
- Ce que tu ne dois surtout pas oublier de mettre dans ton début
- L'erreur que tu fais sans doute si tu écris de la SF ou de la fantasy
- 5 types de débuts et comment choisir le tien
- Pourquoi tous les débuts ne se valent pas
- Le réflexe qui te manque pour retravailler ton début
Et concrètement ?
Dès la fin de l'atelier
Tu sauras quels éléments essentiels tu dois mettre dans le début de ton roman et comment les intégrer
Pendant ta prochaine séance d'écriture
Tu auras de nouvelles idées et techniques pour retravailler ton début avant de l'envoyer à des maisons d'édition
Sur le long terme
Tu enverras aux éditeurs un roman qui les convaincra dès les premiers chapitres et te fera peut-être même obtenir le fameux "oui"
Grâce à un format complet et concret
Trois supports différents (vidéo, présentation, transcription) pour s'adapter à ta méthode d'apprentissage
Deux bonus (une checklist et une fiche récap) pour mettre en application ce que tu as appris
FAQ
L’atelier est divisé en 3 parties, qui sont disponibles à la fois en format vidéo et écrit (transcription). La présentation utilisée est également disponible ainsi que deux bonus gratuits supplémentaires.
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Pour toute question à propos de l’atelier, tu peux me contacter sur mes réseaux sociaux (Instagram : becat_erina) ou par mail à caterina.tosati@lenversdesmots.fr
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